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Recommandations

Consommateurs

  • Réduire la consommation de produits de la mer, en particulier les espèces carnivores d'élevage (comme le saumon ou les crevettes et langoustines), qui dépendent de l’utilisation de la farine et de l'huile de poisson fabriqués à partir de poissons sauvages.
  • Montrer leurs préoccupations de consommateurs en contactant les entreprises de la grande distribution pour demander des normes plus élevées concernant les produits de la mer d'élevage.

Grande distribution

  • Eliminer progressivement l'utilisation de poissons sauvages dans l'alimentation des poissons et fruits de mer d'élevage d’ici 2025.
  • S'engager à proposer une grande gamme de produits de la mer, y compris une plus grande diversité de poissons sauvages pêchés de manière durable et de produits d'aquaculture élevés sans l'utilisation de farine et d'huile de poisson fabriqués à partir de poissons sauvages.
  • Adopter des normes élevées de transparence dans leurs politiques d'approvisionnement.
  • Garantir que les producteurs aquacoles sont tenus de prendre en compte les problèmes graves liés au bien-être et à la mortalité des animaux dans les exploitations aquacoles.
  • Réduire la dépendance à l'égard de la certification en tant que substitut à la durabilité.

Systèmes de certification

  • Les pêcheries minotières ne devraient pas être certifiées car cela donne la fausse impression que l'exploitation des poissons sauvages pour produire de la farine et de l'huile de poisson peut être durable.
  • Ne certifier que les poissons d’élevage dont l’alimentation ne dépend pas de l’utilisation de poissons sauvages.
  • S'efforcer d'améliorer le bien-être des poissons, autant celui des poissons d’élevage que des poissons sauvages.

Industrie de l’alimentation aquacole

  • Cesser d’utiliser du poisson sauvage et passer à des alternatives plus durables.
  • Veiller à ce que ces alternatives ne donnent pas lieu à d’autres problèmes écologiques et sociaux ni ne nuisent au bien-être animal.

Industrie aquacole (pisciculture)

  • Eliminer l’utilisation de la farine et de l'huile de poisson fabriqués à partir de poissons sauvages.
  • Etablir des normes de bien-être élevées, comme il est proposé par CIWF pour différentes espèces.

Décideurs politiques

  • Mettre en œuvre des réglementations plus strictes en matière de diligence raisonnable et de transparence des chaînes d'approvisionnement en aliments pour poissons.
  • Élaborer des lignes directrices encadrant les ingrédients durables contenus dans la nourriture pour animaux.
  • Soutenir l'élimination progressive de l’aquaculture qui repose sur l’utilisation d’aliments à base de poissons sauvages entiers.
  • Mettre en place des politiques pour garantir le bien-être des poissons dans les exploitations aquacoles et réduire à la fois la mortalité, les fuites de poissons ainsi que la forte utilisation de produits chimiques et d'antibiotiques.
  • Réduire la consommation de produits de la mer, en particulier les espèces carnivores d'élevage (comme le saumon ou les crevettes et langoustines), qui dépendent de l’utilisation de la farine et de l'huile de poisson fabriqués à partir de poissons sauvages.
  • Montrer leurs préoccupations de consommateurs en contactant les entreprises de la grande distribution pour demander des normes plus élevées concernant les produits de la mer d'élevage.
  • Eliminer progressivement l'utilisation de poissons sauvages dans l'alimentation des poissons et fruits de mer d'élevage d’ici 2025.
  • S'engager à proposer une grande gamme de produits de la mer, y compris une plus grande diversité de poissons sauvages pêchés de manière durable et de produits d'aquaculture élevés sans l'utilisation de farine et d'huile de poisson fabriqués à partir de poissons sauvages.
  • Adopter des normes élevées de transparence dans leurs politiques d'approvisionnement.
  • Garantir que les producteurs aquacoles sont tenus de prendre en compte les problèmes graves liés au bien-être et à la mortalité des animaux dans les exploitations aquacoles.
  • Réduire la dépendance à l'égard de la certification en tant que substitut à la durabilité.
  • Les pêcheries minotières ne devraient pas être certifiées car cela donne la fausse impression que l'exploitation des poissons sauvages pour produire de la farine et de l'huile de poisson peut être durable.
  • Ne certifier que les poissons d’élevage dont l’alimentation ne dépend pas de l’utilisation de poissons sauvages.
  • S'efforcer d'améliorer le bien-être des poissons, autant celui des poissons d’élevage que des poissons sauvages.
  • Cesser d’utiliser du poisson sauvage et passer à des alternatives plus durables.
  • Veiller à ce que ces alternatives ne donnent pas lieu à d’autres problèmes écologiques et sociaux ni ne nuisent au bien-être animal.
  • Eliminer l’utilisation de la farine et de l'huile de poisson fabriqués à partir de poissons sauvages.
  • Etablir des normes de bien-être élevées, comme il est proposé par CIWF pour différentes espèces.
  • Mettre en œuvre des réglementations plus strictes en matière de diligence raisonnable et de transparence des chaînes d'approvisionnement en aliments pour poissons.
  • Élaborer des lignes directrices encadrant les ingrédients durables contenus dans la nourriture pour animaux.
  • Soutenir l'élimination progressive de l’aquaculture qui repose sur l’utilisation d’aliments à base de poissons sauvages entiers.
  • Mettre en place des politiques pour garantir le bien-être des poissons dans les exploitations aquacoles et réduire à la fois la mortalité, les fuites de poissons ainsi que la forte utilisation de produits chimiques et d'antibiotiques.